Chorale féministe en Bretagne :
Gérald souhaite monter une chorale féministe de 10 personnes maximum. L’idée étant que les participant⋅es écrivent les textes et qu’iels les mettent en musique.
Une semaine de travail lui semble nécessaire, iel est disponible du 1er au 8 mars.
Iel pense qu’être rémunéré⋅e 600 euros est un minimum.
Iel poste sa proposition sur le site.
Hirsute lui propose d’organiser ce workshop à Kerminy (Bretagne sud), lieu disponible à ces dates et où une chapelle désaffectée peut être mise à disposition, ainsi qu’une chambre par personne, pour un prix de 18€ la nuit et 2€ le repas (prix fixé par Kerminy).
Les personnes intéressées s’inscrivent et proposent une participation à hauteur de leurs moyens respectifs.
Lorsque les 2280€ sont réunis [soit 600€ (Gérald) + 18x7x10(logement) + 6x7x10(repas)], le workshop est programmé. Certain⋅es auront payé 228€, d’autres 400€ ou encore 100€, en fonction de leurs possibilités.
Le 1er mars, toustes se retrouvent à Kerminy pour commencer le workshop et rencontrent le lieu et son fonctionnement.
Sur place Sofi et Liv apprennent les rudiments du chant choral et échangent sur leur pratiques.
Soudure à l’arc à Marseille :
Liv, quelques temps plus tard souhaite créer une structure en métal pour supporter les écrans d’une installation vidéo.
Elle poste sur Hirsute une demande pour apprendre les bases de la soudure.
Sofi, qui est artiste et serrurière lui répond et elles décident d’initier ensemble une session autour de cette pratique.
Hirsute propose la session à Cap15, un espace de vie et de travail situé dans les quartiers Nord de Marseille qui rassemble plusieurs artistes.
Sofi sera rémunérée 800€ nets sur facture (930€ bruts) et accepte de former jusqu’à 5 personnes.
Le logement se fera gratuitement sur site chez les habitant⋅es de Cap15 et la nourriture sera partagée.
Cap15 fournira le matériel et les consommables à hauteur de 200€ et met à disposition gracieusement ses ateliers.
Le coût total de la session est donc de 1130€ auxquels s’ajoutent les trajets et les repas.
Chaque participan⋅te devra débourser 226€
Finalement Liv participe à hauteur de 400€ car c’est vraiment essentiel pour elle.
la participation moyenne est ramenée à 182,50€ par la plateforme.
Antoine, Fabrice, Lucie s’inscrivent et acceptent de contribuer à hauteur de 200€
il manque alors 130€ qui seront finalement pris en charge par l’école des beaux-arts de Clermont-Ferrand pour envoyer une étudiante. L’école prend en charge ces 130€ ainsi que le trajet.
Le 4 juin, tout ce petit monde se retrouve à Marseille, disqueuses et baguettes de soudure en main.
Ou encore :
Rémy, danseur, souhaite former à la méthode Feldenkrais (4 jours).
Sophie, critique d’art, veut créer une histoire orale des actions furtives, en réunissant des participant⋅es prêt⋅es à raconter des œuvres non documentées (3 jours).
Claire, performeuse, propose de construire son propre microphone binaural et de l’expérimenter pour créer des pièces sonores (7 jours).
Rachele, porn-activiste, propose une semaine de sensibilisation au féminisme intersectionnel (6 jours).
Fabrice, artiste, propose de former aux outils libres de programmation en temps réel (5 jours) sous la forme de de rencontres où s’appennent à la fois les techniques mais s’échangent aussi des univers culturels sous la forme de séances d’écoutes.
Stéphanie, artiste, est intéressée par les relations entre plantes et anarchisme ; elle imagine un temps de travail commun avec des personnes sensibles à cette question (6 jours).
Pau, danseur.euse, organise un workshop sur la fabrication d’anneau de contraception masculine, sujet de recherche de son prochain spectacle.
Enrico, artiste, organise des lectures arpentées d’ouvrage qu’il réédite par la suite (1jour).
Florence, créatrice sonore, souhaiterait expérimenter la technique de l’audio-desciption d’une manière collective à partir d’un film d’Artavazd Pelechian(2 jours)
Benjamin, étudiant en architecture, propose in atelier de description libre d’espace de vie qui donne lieu à des croquis et à des maquettes brutes (2 jours)